Publié par Laisser un commentaire

Arrêtons le Factuel !

mondialisation

De nos jours, il est devenu très compliqué de bâtir une réflexion sociétale ou politique en pensant autrement que la norme qui nous est imposée dans les médias. Qu’ils soient sociaux ou conventionnels les supports d’information nous bourinent de logique, d’analyses normatives, martelant l’idée qu’on ne peut pas penser autrement et librement que par la mondialisation.

Globalisation, dictature du sondage trafiqué, tout est en place pour que l’information en France devienne une ombre pédagogique pathétique dans laquelle le métier de journaliste n’est plus qu’une forme de bras armée du “prince-patron” qui le paie pour exercer le rôle d’esclave du maître. Parfois, c’est au nom d’un dogme politique, souvent pour glorifier le ” saint argent” base de la puissance diabolique que l’on  vous fait choisir un encart publicitaire plutôt qu’ un article culturel.

La mondialisation :

L’exemple de cette manipulation

Voila 40 ans (années 80) que l’on nous torpille sans cesse sur la mondialisation et la globalisation. De tous côtés, c’est une ritournelle sans fin. Presse, télévision, magazines spécialisés, responsables politiques, nous perforent le cerveau implantant petit à petit l’idée que la mondialisation est une évidence et que rien ne peut la contredire. Et ca marche ! Au nom du factuel, tout est devenu logique et rien ne peut changer les choses. Saviez-vous que quelque part, sur ce globe de l’univers, des esprits déifient la mondialisation, travaillent sur la réédition d’un manuel qui évalue le degré de généralisation de l’économie en classant les pays par ordre de respect de cette globalisation. Ce groupe, on l’appelle l’OCDE (l’organisation de coopération et de développement économique ).

Inévitable la mondialisation ?

Vous achetez vos couches, votre boite à lentilles ou encore vos jardinières de légumes où vous voulez et quand vous voulez ! Et se lit sur votre visage le sourire béat de la satisfaction du devoir accompli avec votre chariot débordant de victuailles dont la moitié est inutile. Rassurez-vous, les marques globalisantes ont des services de communication qui vous donneront les arguments nécessaires pour justifier vos achats mondialistes. En prime, il vous retireront le moindre scrupule en vous offrant un “Pins Magnet” représentant une partie de l’hexagone, vous donnant ainsi la certitude d’acheter Français : Oui ils nous prennent pour des cons. La question est : Ont-ils raison ?

Ils sont forts ces manipulateurs !

  • Mais comment font-ils ?
  • Sont-ils Nietzschéens adeptes du surhomme ?
  • Ont-ils des dons magiques ?
  • Sont-ce des sorciers venus d’un autre temps ?
  • Comment font-ils pour tout mondialiser ?

Mais la question majeure est :

Devons-nous les laisser nous manipuler ainsi et développer un tel pouvoir sans aucune règle se réclamant de la démocratie ?

Que faut-il faire pour mettre des limites à ce cataclysme planétaire ?
Comment remettre de l’éthique d’une économie qui file à sa perte ?

Voilà, donc, autant de questionnements auxquels il est indispensable de s’affairer avant de se positionner autour d’un phénomène cyclonique. Sommes-nous en présence d’une faillite des autres systèmes économiques ou une guerre perdue face à aux vrais pouvoirs qui gouvernent le monde ? Comment en finir avec cette nocivité démentielle qui fait de cette économie mondialisée une bombe nucléaire en puissance. Malgré les alertes répétitives sur ces pratiques, les influenceurs sont aux ordres des décideurs pour nous mener à notre déclin. Ils vantent le bienfondé d’un mécanisme de marché qui nous emporte au fil des décennies vers un big bang qui nous fera dire à nous-tous : “Ahhhhh si on avait su….” Et pendant ce temps, le G7 nous annonce s’engager sur la mondialisation de l’impôt ! La machine à broyer est en marche !

Par Frédéric Quillet

Publié par Laisser un commentaire

Conseil de lecture

La rencontre de Charles Pépin

Moins mondain que Luc Ferry et Raphaël Einthoven, moins « bankable » que Michel Onfray et Frédéric Lenoir, plus précis dans ses exposés et dans ses commentaires qu’André Comte-Sponville et que Barbara Stiegler, et surtout bien moins con et moins imbu de lui-même, que les vieilles peaux d’apôtres sur – médiatisées, j’ai nommé : Bernard-Henri Lévy, la fierté offensée à tout jamais entartré, et son compère Pascal Bruckner, le vieux beau à la recherche tant de jeunettes, de midinettes que d’idées nouvelles à mettre sur le marché,

Charles Pépin est aujourd’hui l’un des plus crédibles philosophes français, qui fait son petit bonhomme de chemin dans les travées enjouées de la pensée, celle qui réveille le cœur et l’esprit, celle qui émerveille !… 

Charles Pépin est aujourd’hui l’un des plus crédibles philosophes français

Fred l’Enfluenceur

Dans la lignée de ses derniers essais, les vertus de l’échec et la confiance en soi, il traite dans la rencontre d’un sujet, certes éternellement existentiel, mais qui correspond aussi à une problématique très actuelle.

En effet, à l’heure où les hommes semblent vouloir prendre vis-à-vis de l’Autre quelques comportements ressemblant fortement à un écart, à une distance, souvent même à une défiance, Charles Pépin remet au goût du jour la question existentielle de la rencontre – amoureuse, amicale, professionnelle ou virtuelle – en rappelant sans cesse que le mot « exister » vient du latin : « ex-sistere », qui signifie :  « sortir de soi ». Dès lors, la rencontre doit-elle être perçue, selon lui, comme une belle aventure, laquelle ne peut pas se concevoir sans aucun risque, mais, au contraire, doit renifler le subliminal goût de la vraie vie.

Le mot « exister » vient du latin : « ex-sistere », qui signifie : « Sortir de soi »

Fred l’Enfluenceur

De Platon à Albert Cohen en passant par Voltaire, de Pablo Picasso à Paul Eluard, de Clint Eastwood à Davide Bowie ou Lou Reed, Charles Pépin convoque philosophes, romanciers, poètes, peintres, cinéastes et musiciens pour nous révéler, si nous ne le savions déjà, la portée grâcieuse de la rencontre.

Ce mois-ci, je viens encore à votre rencontre pour vous faire rencontrer le bel essai de Charles Pépin !

… Rencontrez-le !

… Faites le pas !

… Sans doute vous y retrouverez vous !

Il ne faut ni s’en remettre totalement au hasard, ni vouloir l’abolir pour se rencontrer

Charles Pépin

Retrouvez cet article sur Esprit-Libre notre webzine – (apml.ovh)

Charles Pépin 2019

Un article écrit par Fred l’Enfleuenceur

Publié par Laisser un commentaire

Conseils de Jeu

Les colons de Kätane

Boite du jeux de base « Catan »

Autres noms : Les colons de Kätane, Catane, Catan

Auteur : Klaus Teuber

Illustrateur : Franz Vohwinkel

Nationalité : Allemand

Edition en France : Jeux Descartes

1er parution en France  : 1995

Genre : Stratégie

Durée : 75 minutes environ

Nombre de joueur : 3 à 4

Age recommandé : 10 ans et plus

Catan est une île sur laquelle des colons se livrent une course à l’implantation et l’extension de leur territoire. Cette île est composée de 5 types de terrains qui fournissent 5types de ressources différentes. Cela permet de construire des colonies, des routes, des villes et des cartes développement.

MontagneCarrièreChampPrairieForêt
RocheArgileBléLaineBois

Au début de chaque partie, la disposition des ressources et leur rendement est défini aléatoirement. Son rendement ? et oui ! Sur chaque case de Catan un chiffre entre 2 et 12 est placé aléatoirement lui aussi. Au début, de son tour le joueur lance deux dés, et tous les joueurs ayant des villes adjacentes aux ressources, qui ont pour numéro la somme des deux dés, récoltent leur ressource correspondante. La récolte de ressources est aléatoire mais le placement des colonies n’en reste pas moins stratégique. Ainsi la pénurie ou l’abondance varie fortement et le commerce autour de ces ressources est dynamique.

La valeur qui tombe le plus est le 7, mais ce numéro ne donne pas de ressources. Il envoie des voleurs piquer des ressources dans les colonies et bloquer la récolte de celle-ci.

Déroulement d’une partie de Catane :

Le tour de chaque joueur se déroule en trois phases :

ProductionCommerceConstruction
Lancement des dés, récolte des ressources ou déplacement du voleur
 
Le joueurs peuvent échanger des ressources avec les autres joueurs
 
Le joueur dépense ses ressources pour construire et gagner des point de victoire

Le premier joueur à atteindre 10 points de victoire, gagne la partie !

VilleColonieRoute la plus longueArmée la plus grandeCarte point de victoire
2 pts1 pt2 pts2 pts1 pt

Extensions :

  • · Marins
    • L’île de Catane devient un archipel
  • · Villes et chevaliers
    • Des barbares attaque l’île
  • · Barbares et marchands
    • Il faut rénover le château de Catane
  • · Pirates et découvreurs
    • Explorer les alentours de l’île

Publié par Laisser un commentaire

Expression Libre Août

Paul eut Sion

Zootipunk – Shelter

Paul aime les jeux vidéo et les réseaux sociaux,

Il ne s’intéresse pas aux oiseaux,

Il s’empresse de gagner du temps

Pour s’asseoir devant son écran

Pas de nature, pas culture, pas de chaussure

Crack Chips, Eclipse, Apocalypse

Mais Paul est un homme heureux.

Entre revenu universel et temps partiel,

Une vie éternelle devant des pixels,

S’est annoncée pour le paresseux.

Paul est ravi, il est au paradis

On est en 1984, dans cette uchronie

Et « Dans le meilleur des mondes » Paul nous dit

Mais pacha mama, elle, ne rit pas

Qui dit progrès dit ressources

Qui dit re-source dit extraction

Qui dit ex-traction repond vide

Intérieur pour nous et elle

Planter un végétal ?

Paul plantais dans un monde digital

Paul plante maintenant dans du métal 

Paul ne plantera plus jamais la terre sale

« Pardonne moi Materre,

Laisse moi quitter cette serre,

Revoir la lumière

Revoir les mers »

Finalement Paul eut Sion mais enterra sa maman

Shelter

Kanefer – Shelter

Retrouvez notre page expression sur : Esprit-Libre notre webzine – (apml.ovh)

Publié par Laisser un commentaire

Expression Avril 2021

Le touché est serpent, la bise un venin

Fuseaux de brindilles perdues dans l’univers agrutilant

Les cristaux ajourés s’éteignent sur une patrie reposée

La mémoire s’éclipse de mille noèmes constatés sur la grotte de Constance

Quelles caresses distancées pourrions-nous accepter au milieu de ces libertés restrictives ?

Le songe des particules s’amasse en brindilles fourchues

Amplitude de quatrains désopilants égorgés sur un vibrato d‘hérésies écarlates

D
Deteroctaire – Shelter

L’océan cache sous son immensité une pâle allégorie déferlante

La vague de l’oubli s’installe sur une portée déférente

Et la couche d’absurdité s’enlise dans une glaise improbable et aigue

On ressort l’histoire de Prométhée . Ou peut-être était-ce incisif ?

Voilà que ce monde s’envole en séquences abstraites et distancielles

Le touché est serpent ! la bise un venin ! Misérabilisme Under-ut

Il reste le sourire me direz-vous ? Raté, c’est le masque qui s’impose !

Folle immersion de l’ingénu qui se réveille après des années comateuses

Fissures célestes tueuses de romantisme acceptées si facilement par les moutons de panurge !

Divaguisme arobscum !

Frédéric Quillet

Albatros

Au loin – Shelter

l

Au dessus  de lui, je le vois comme un point minuscule à peine insolent

Pendant que l’herbe colle au champ lumineux

Les montagnes réchauffent mon cœur géologique

De labyrinthes en un indéchiffrable  cap, je prends le vent de la liberté

C’est une multitudes de caresses charnelles qui m’enivrent d’émotions vives

Je suis, dès lors, animé de sortilèges blottis dans mes ornières déployées

J’ai l’âme aigle et l’esprit condor me laissant infiltrer de flaques venteuses

Laissez-moi le temps de rugir de ma puissante indolence 

Vois-tu l’oscillation des pigments  qui se transforment en un carrousel de frissons ?

Des frémissement de bonheur écument mon esprit libéré grâce à cette soyeuse étoffe

Je vais effleurer les monts épineux des massifs et le ciel ira carillonner ma joie

 Des draps lissés sur un pic blanchâtre brisent les frontières de l’impossible

Mon visage lèche le lobe de la lune dévissée pour l’occasion

Elle est venue m’embrasser dans ma tentative d’éclosion volatile

Mon rêve éveillé grâce à l’archet articulé sur une portée qui m’emmène vers l’aurore

Les images s’entrechoquent et soudain apparait l’albatros tant espéré

Et je l’aime

Frederic Quillet

Au bout du tunnel

Encore un matin ensoleillé venu chasser les nuages de nos esprits

Un an de pandémie 

Confinement, couvre-feu 

Bienvenue en quarantaine académie

Un peu de poudre yeux, et on y voit que du feu 

Mesures sanitaires hasardeuses 

Suivi de Conséquences ravageuses

Quand l’Anxiété est contagieuse 

Impact psychologique en devient désastreuse 

Distanciation physique 

Amène à l’éloignement social 

Empoisonnement psychique 

Comportement asocial 

Mal être intérieur 

Ovaloïde – Balou

Au bout du tunnel – Balou

Quand il faut attester d’un motif 

Pour se rendre à l’extérieur 

Serait-ce la fin d’un cycle annonçant le début d’un autre ? 

Tel un phénix renaissant de ses cendres 

Les élites de ce monde n’ont pas fini de nous surprendre 

Tels des rapaces, n’ont pas fini de tout nous prendre 

Pas besoin de diplôme pour le comprendre 

Il n’est jamais trop tard pour apprendre 

Manipulation des masses 

Quand la peur conduit une société vers le désastre 

Déjà un an que nos vies sont bouleversées 

Sans visibilité, ni espoir que la tendance puisse s’inverser 

La lumière est au bout du tunnel 

Balou

Publié par Laisser un commentaire

« Covid –Sanitaire  » : Cap’tain dindon ?

Après 12 mois de privation de liberté de circuler, exceptée avec, parfois,  une auto-attestation ridicule, que faut-il retenir des nouvelles mesures gouvernementales Françaises ?

La violence !

              Ca va en faire hurler plus d’un, j’en suis conscient. Je n’avais jamais connu une telle violence morale. Cela se rapproche même d’une sorte de perversion mentale.

La violence d’une décision

Souvenons-nous. Nous sommes à la veille du premier tour des élections municipales de Mars 2020. Le premier ministre nous annonce froidement et dans un ton qui te fout les jetons, que « d’ici à minuit, j’ordonne la fermeture des café et des restaurants. » l’effroi ! Non pas parce qu’on ferme ces établissements, mais bien à cause de ce ton pervers consistant à nous dire que la situation était grave au point qu’il fallait immédiatement fermer ces établissements pour cause de covid-19, mais que nous pouvions tout de même aller voter. Résultat plus de 60 % d’abstention. La peur ! Je ne pardonnerai jamais ce choix absolutiste de ce gouvernement. La menace d’un virus très dangereux qui rode, mais pas dans les urnes. Nous sommes gouvernés par des gens qui ont la conviction qu’un peuple se dirige sur l’instant “T” .

Aucune projection ! Et surtout : absence du sens de l’Etat ! Ce gouvernement ne sait pas construire une logique d’état qui consisterait à prendre les devants d’une situation qui les dépasse.

Au fil de cette année de folie, l’illogisme s’est propagé tel un virus infernal. Nous sommes restés spectateurs, subissant tels des soumis les informations contradictoires et la folie séculaire d’une gouvernance dépassée, utilisant des armes médiatiques infantiles nous renvoyant au 19 ième siècle, époque où le peuple était confiné socialement dans une terrine à pâtée pour chat !

Tout le monde s’y est mis. Les médias-poubelles de plus en plus influents dans notre sphère communicative, ont mis le paquet. D’abord, mettre en lumière les journalistes lobotomisés-crétins, aux ordres avec une pincée d’éditorialistes nationalistes qui n’en demandaient pas autant pour intégrer définitivement la norme éditoriale.

Désormais, l’extrême droite est “co-gouvernante” au sein de l’information globale. C’est, selon moi, la pire des conséquences politiques de ce covid-19. La bête est définitivement revenue dans notre quotidien avec la complicité des patrons de médias et du gouvernement.

A un virus qu’on nous demande de combattre, on en infiltre un autre que l’on nous fait passer comme inoffensif. Après tout, ces médias infiltrés sont parties prenantes de notre société démocratique et libre et représentatives d’une partie des électeurs!

La raison, la vraie, c’est l’ambition politique d’une gouvernance française qui mise sur une cristallisation de la contestation par le biais de l’extrême droite. Un jeu dangereux.

Une peste remplace un covid. 2022 sera l’année de tous les dangers

Frédéric Quillet

Publié par Laisser un commentaire

Finissons-en avec Dieu !

Qui vous apprend cette histoire ? La plus étrange où les cons dorment debout . Celle de Dieu. Le début et la fin de tout comme le cochon du sahel, la truie de l’oubli défécatoire ! L’orangeade sans bulles étoilées .

Un corps clouté piétiné par un passage aléatoire. Membrane de l’espace thermidorien. Révolte d’une idiotie de l’âme. Un type cloué montrant sa quête de l’ignorance en couleur .

Le corps est un champignon rusé chez qui on a châtré les moisissures. Il est défini du néant. Plus innommable qu’inconsommable. Le corps pue Christine ! Amène-le moi Jézabel !

L’octroi du plein! Petits pains asservis de pas de danses agglomérées. Le corps fornique et il vous gauchit ! Dieu n’a rien à y faire. Ni dedans, ni dehors. Tout n’est qu’envers du décors. Changer de vice, blâmer le corps. A quoi bon croire puisque c’est l’ange même qui te trahit pourri jusqu’à l’os au nom de Satan le propre fils de Dieu ? Même Satan prend un “S” majuscule dans le correcteur d’orthographe !

Lumière de symbole soi-disant apaisante pour l’homme, Dieu n’est qu’une source de haine, de guerre, de décapitation ! Un épouvantable blasphème de la vie. Ce Dieu, c’est celui que l’homme t’a créé, façonné, poli à ton mirage !

Et sur les pentes hallucinantes de la vie, on tue en son nom ” aimant” . Tout le monde y passe. Du peuple élu en passant par les croisés pour en finir par les fous du croissant lunaire. Dieu est cruauté et barbarie ! L’homme, au nom de ses dieux, a détruit des vies, pillé des civilisations, maudits les autres croyances, brulé des corps ensorcelés, entretenu des attitudes obscènes.

Finissons-en avec Dieu. N’acceptons que la croyance pacifique comme l’amour, l’amitié et le forage du pétrole ! Vivons en pleine absurdité et finissons-en avec des explications cartésiennes ou Dieuboliques !

On est aujourd’hui affolé par un virus indigent, même pas de chez nous. Il est incréé maturé, timbré et rend les gens cons comme l’os à poêle en queue de pie. Abjecte culture répudiée par un corps étranglé. Masque de complaisance, épouvantable sarcophage qui rend l’homme débile et irrespectueux ! Un nouveau Dieu est en train d’arriver sur terre !

L’humain s’entiche et s’accroche à des idées qui l’empêchent de se libérer. Tant qu’il se croira éternel, il inventera toujours des causes pour garder le pouvoir sur toutes choses et sur ses semblables. Alors que la seule et unique vie, c’est l’évolution dont le point de départ est un grand architecte de la vie qui permis à l’univers de monter crescendo sur le toit de la connaissance.

Mais voilà, rendre l’homme plus intelligent, pour certains, c’est un danger permanent. Du coup, un jour, l’homme a créé Dieu pour qu’il descende nous museler. Macabre illusion, tableau de nacre involutif ! Vision antidéterroctère ! Kholéra de prêt à dimension impersonnelle !

Tronc de rivières pulmonaires peinte pour lier l’un en un tout de pénombre déambulatoire. Tout est favéla !

Frédéric Quillet

Publié par Laisser un commentaire

Ôde à 20 doigts !

Une craie de pince-noisette casse la glace au neutronium fou. Perdu dans une déviance aléatoire, l’ange-divin saccage les pots de miel du père castor. Tout est fermé sur l’au-delà de l’empire des masques. Le règne de la peur s’endive dans une salade hypodermique.

A Saint-Ptomatik, province chinoise, on vit l’aiguille à la main ambiguë. Le poil du néant endosse l’araignée à cinq branches. Réplique d’un temps défaussé de larmes desséchées. L’homme rebondit sur le quart-temps du confinement déguisé en couvre-feu débile et acclamé par la fermière et son poteau laid.

L’extase insaisissable de trognons paumés sur la pente plagiée par Paul Verlaine tissant du lin dans sa cave humide et froide. L’oignon de son coléoptère vit sa dernière heure. Il crèvera comme il a vécu .

Eloignons l’oie-gnon de sa nébuleuse vergue créative, maladive et endive. Chie-con ! Solution écarlate urinée par la fermeture des bars sans poche ! Le souverain a décidé tout seul de fermer notre gueule. D’autre part, il demandera l’autorisation au parlement de continuer !

Quo vadis, Capulet, capulette : Covid-21 ! Catapulte sur la toile de jute ! Explosion phénoménale d’un patriote microbien délesté sur la poitrine du démon ! Le bœuf éructe de douleur après la décapitation de frère Louis !

St Nicolas se “vantise” d’un cousinage épargné du seizième ! Autrement dit, il ne sert à rien ! Il n’a pas le sang du mentor royal. Crapahutons ensemble, masques aux nez vers les plaines de Trenzalore sur le tombe du docteur “gromenolant” le jour et grommelant l’été.

“Motus et bouche cousue” cria alors, le vénessien sans culotte mais avec une jolie pommade plein les socquettes. L’homme gardait ses tongs uniquement à la montagne et mangeait des skis sur la plage….

Tout se ferme. Rien ne se dit. Bouches fermées. Narines perdues dans un mouche-masque interchangeable tous les 4 heures.

C’est l’heure du goûter. ” Ah le sagouin, il bouffe le masque et la cellophane avec !!! ” Lassée de ce texte sans queue ni épithète ?

Frédéric Quillet et Paméla Gnostique

Publié par Laisser un commentaire

Réponse de Marc Persichetti

Réponse de Marc Persichetti à l’article : La chasse : indispensable au développement durable ?

Vous m’avez proposé une interview sur la chasse et j’ai accepté avec plaisir à la condition de relire votre article avant sa parution. Votre papier est globalement bien documenté mais comporte quelques erreurs que je vous ai signalées. Certaines ont étés prises en compte, d’autres non. Je vous prie de bien vouloir publier les rectificatifs suivants.

  • Vous laissez entendre que les chasseurs n’ont pas les compétences pour gérer les biosphères. C’est faux car les fédérations départementales et la fédération nationale emploie un grand nombre de techniciens diplômés des métiers de l’environnement. Cette organisation départementale et nationale nous permet également d’avoir une vision globale, contrairement à ce qui est affirmé. Tout le long de l’année, les chasseurs interviennent concrètement dans nos campagnes pour préserver l’environnement, restaurer la biodiversité et sauvegarder les espèces, chassables ou non. Les chasseurs sont les premier intervenant dans l’environnement et cela bénévolement.
  • Le remplacement de cartouches en plomb par d’autres alternatives -elles arrivent sur le marchés-  pour certaine chasse n’est pas le fait des chasseurs mais du parlement qui légifère et des fabricants. Les chasseurs sont favorables à une alternative.
  • Aucune espèce protégée n’est chassée ! Si cela était le cas, cela serait du braconnage et les chasseurs ne sont pas des braconniers.
  • L’agrainage n’a pas pour but la multiplication des sangliers et n’en n’est pas la cause. Cette technique consiste à déverser du grain de maïs en forêt pour essayer d’y fixer les sangliers, évitant ainsi plus de dégâts dans les cultures. Dégâts pour lesquels les chasseurs indemnisent les agriculteurs. Sans agrainage, les sangliers consommeraient plus dans les cultures, cela ne provoque aucune surpopulation. Cette technique est bien évidement réglementée.
  • Il n’y a pas de gros gibiers élevés et relâchés, cette pratique est interdite. Il y a des petits gibiers d’élevage relâchés. Cela à permit de sauvegarder des espèces qui auraient disparues sans cela, et pas à cause de la chasse mais de leurs territoires bouleversés.
  • Les chasseurs n’ont jamais détruit d’écosystème, au contraire, ils travaillent à le préserver et sont souvent les seuls.
  • Le piégeage est règlementé et les piégeurs sont formés et agrées. Sans cela, beaucoup d’élevage serait en péril.

Voilà, il me semble que cela devait être dit.

Publié par Laisser un commentaire

Populisme et démocratie

Quel est l’état de notre démocratie en France  ?

Peut-on réellement se plaindre de notre situation lorsque l’on se compare aux pays voisins moins libres que nous ?

Où est la place du populisme dans le demos Français ?

. De tout temps l’état de  l’opinion publique  est le thermomètre premier d’une démocratie.  Les  pays qui s’engagent dans ce destin philosophique et politique  prennent régulièrement le pouls de l’implication citoyenne. Quand celle-ci en est réduite à un fonctionnement populiste alors les démocrates peuvent trembler.

. Mais qu’est-ce que le populisme ? Selon Môssieur Larousse, c’est un « Discours politique s’adressant aux classes populaires, fondé sur la critique du système et de ses représentants ». Aujourd’hui, En France, mais aussi dans le monde,  une partie de la population adhère de plus en plus à cette « philosophie »

. Avril 2002, après l’avènement de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle, c’est le choc ! Dès lors, un glissement du discours politique se porte sur la droite de son échiquier.  La parole politique va se tourner vers une imitation des codes de l’extrême droite. Le symbole en 2009 : La création d’un  ministère de l’identité nationale par Nicolas Sarkozy.  Quatre années auparavant, l’avènement des chaines d’information  continue sonne le début de la gouvernance d’une opinion manipulée par les  grands groupes économistes, Les grandes fortunes française représentés par les patrons de chaines ayant également des intérêts  importants dans les institutions de sondage.

. Déjà latent dans les années 90, le contrôle de l’opinion prenait son rythme de croisière au début des années 2000. Il ne fallut pas longtemps pour transformer le spectateur en objet commercial dans le cerveau n’avait qu’un défaut : Celui de penser !

. Dès lors, et grâce à la fulgurance  de l’impact des médias-poubelles de la T.N.T, le parc de l’audiovisuel s’est mis à l’heure du règne de l’opinion publique. La doctrine devenait pernicieuse à souhait. L’opinion populaire pensant diriger les choses se retrouve sous le joug des influenceurs que sont Bolloré, Bouygues  et bien d’autres.

Bolloré et Bouygues discutent
Dessin de Shelter

 . A présent, la vindicte populaire désagrège tout sur son passage appuyée désormais par les médias qui ont vu dans cette poussée de fièvre l’opportunité de glaner encore plus d’aficionados et d’audimat. Ecrit, vocal ou télévisuel, l’espace médiatique s’est laissé emporter dans ce tsunami du contrôle permanent de la pensée.

 .      «  Les français pensent que …» Le sondage nous annonce ce qu’il faut penser. En 2021 nous subissons un sondage par jour et un martellement intempestif de la même information pendant 24 heures. On presse le citron du cerveau devenu inerte et sans contact !

  . Il suffit de savoir créer des polémiques et de les donner à manger aux « y’haine » populistes, revanchards d’une frustration imaginaire ou fabriquée par les manipulateurs.

. A côté de cette situation, la prise en main des réseaux sociaux par ce qu’on appelle des influenceurs n’a pas arranger la situation. En donnant un accès total à l’information et en multipliant les murs d’expression, le système GAFA joue le rouleau compresseur de la pensée en créant un écran de fumée de liberté pour une majorité de gens qui se retrouvent embarqués dans le phénomène de ce populisme moderne.

Et voilà que l’ensemble des acteurs politiques sombrent dans ce système d’infantilisation de la pensée de l’opinion. Notre démocratie assure-t-elle encore la liberté individuelle ? Pas sûr !

. On cherche à faire de nous , des esclaves de la pensée immédiate au nom d’une liberté de façade, caricaturée.

. En fait, L’ennemi, c’est nous-même. Nous qui acceptons ce rôle. Nous sommes dans une pensée linéaire dangereuse. Un écran de fumée nous fait croire que nous avançons ensemble, dans la bienveillance.

Comment se rebeller face à cette implacable dictat du populisme moderne qui s’apprête à régner définitivement en France ?