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Arrêtons le Factuel !

mondialisation

De nos jours, il est devenu très compliqué de bâtir une réflexion sociétale ou politique en pensant autrement que la norme qui nous est imposée dans les médias. Qu’ils soient sociaux ou conventionnels les supports d’information nous bourinent de logique, d’analyses normatives, martelant l’idée qu’on ne peut pas penser autrement et librement que par la mondialisation.

Globalisation, dictature du sondage trafiqué, tout est en place pour que l’information en France devienne une ombre pédagogique pathétique dans laquelle le métier de journaliste n’est plus qu’une forme de bras armée du “prince-patron” qui le paie pour exercer le rôle d’esclave du maître. Parfois, c’est au nom d’un dogme politique, souvent pour glorifier le ” saint argent” base de la puissance diabolique que l’on  vous fait choisir un encart publicitaire plutôt qu’ un article culturel.

La mondialisation :

L’exemple de cette manipulation

Voila 40 ans (années 80) que l’on nous torpille sans cesse sur la mondialisation et la globalisation. De tous côtés, c’est une ritournelle sans fin. Presse, télévision, magazines spécialisés, responsables politiques, nous perforent le cerveau implantant petit à petit l’idée que la mondialisation est une évidence et que rien ne peut la contredire. Et ca marche ! Au nom du factuel, tout est devenu logique et rien ne peut changer les choses. Saviez-vous que quelque part, sur ce globe de l’univers, des esprits déifient la mondialisation, travaillent sur la réédition d’un manuel qui évalue le degré de généralisation de l’économie en classant les pays par ordre de respect de cette globalisation. Ce groupe, on l’appelle l’OCDE (l’organisation de coopération et de développement économique ).

Inévitable la mondialisation ?

Vous achetez vos couches, votre boite à lentilles ou encore vos jardinières de légumes où vous voulez et quand vous voulez ! Et se lit sur votre visage le sourire béat de la satisfaction du devoir accompli avec votre chariot débordant de victuailles dont la moitié est inutile. Rassurez-vous, les marques globalisantes ont des services de communication qui vous donneront les arguments nécessaires pour justifier vos achats mondialistes. En prime, il vous retireront le moindre scrupule en vous offrant un “Pins Magnet” représentant une partie de l’hexagone, vous donnant ainsi la certitude d’acheter Français : Oui ils nous prennent pour des cons. La question est : Ont-ils raison ?

Ils sont forts ces manipulateurs !

  • Mais comment font-ils ?
  • Sont-ils Nietzschéens adeptes du surhomme ?
  • Ont-ils des dons magiques ?
  • Sont-ce des sorciers venus d’un autre temps ?
  • Comment font-ils pour tout mondialiser ?

Mais la question majeure est :

Devons-nous les laisser nous manipuler ainsi et développer un tel pouvoir sans aucune règle se réclamant de la démocratie ?

Que faut-il faire pour mettre des limites à ce cataclysme planétaire ?
Comment remettre de l’éthique d’une économie qui file à sa perte ?

Voilà, donc, autant de questionnements auxquels il est indispensable de s’affairer avant de se positionner autour d’un phénomène cyclonique. Sommes-nous en présence d’une faillite des autres systèmes économiques ou une guerre perdue face à aux vrais pouvoirs qui gouvernent le monde ? Comment en finir avec cette nocivité démentielle qui fait de cette économie mondialisée une bombe nucléaire en puissance. Malgré les alertes répétitives sur ces pratiques, les influenceurs sont aux ordres des décideurs pour nous mener à notre déclin. Ils vantent le bienfondé d’un mécanisme de marché qui nous emporte au fil des décennies vers un big bang qui nous fera dire à nous-tous : “Ahhhhh si on avait su….” Et pendant ce temps, le G7 nous annonce s’engager sur la mondialisation de l’impôt ! La machine à broyer est en marche !

Par Frédéric Quillet

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Conseil de lecture

La rencontre de Charles Pépin

Moins mondain que Luc Ferry et Raphaël Einthoven, moins « bankable » que Michel Onfray et Frédéric Lenoir, plus précis dans ses exposés et dans ses commentaires qu’André Comte-Sponville et que Barbara Stiegler, et surtout bien moins con et moins imbu de lui-même, que les vieilles peaux d’apôtres sur – médiatisées, j’ai nommé : Bernard-Henri Lévy, la fierté offensée à tout jamais entartré, et son compère Pascal Bruckner, le vieux beau à la recherche tant de jeunettes, de midinettes que d’idées nouvelles à mettre sur le marché,

Charles Pépin est aujourd’hui l’un des plus crédibles philosophes français, qui fait son petit bonhomme de chemin dans les travées enjouées de la pensée, celle qui réveille le cœur et l’esprit, celle qui émerveille !… 

Charles Pépin est aujourd’hui l’un des plus crédibles philosophes français

Fred l’Enfluenceur

Dans la lignée de ses derniers essais, les vertus de l’échec et la confiance en soi, il traite dans la rencontre d’un sujet, certes éternellement existentiel, mais qui correspond aussi à une problématique très actuelle.

En effet, à l’heure où les hommes semblent vouloir prendre vis-à-vis de l’Autre quelques comportements ressemblant fortement à un écart, à une distance, souvent même à une défiance, Charles Pépin remet au goût du jour la question existentielle de la rencontre – amoureuse, amicale, professionnelle ou virtuelle – en rappelant sans cesse que le mot « exister » vient du latin : « ex-sistere », qui signifie :  « sortir de soi ». Dès lors, la rencontre doit-elle être perçue, selon lui, comme une belle aventure, laquelle ne peut pas se concevoir sans aucun risque, mais, au contraire, doit renifler le subliminal goût de la vraie vie.

Le mot « exister » vient du latin : « ex-sistere », qui signifie : « Sortir de soi »

Fred l’Enfluenceur

De Platon à Albert Cohen en passant par Voltaire, de Pablo Picasso à Paul Eluard, de Clint Eastwood à Davide Bowie ou Lou Reed, Charles Pépin convoque philosophes, romanciers, poètes, peintres, cinéastes et musiciens pour nous révéler, si nous ne le savions déjà, la portée grâcieuse de la rencontre.

Ce mois-ci, je viens encore à votre rencontre pour vous faire rencontrer le bel essai de Charles Pépin !

… Rencontrez-le !

… Faites le pas !

… Sans doute vous y retrouverez vous !

Il ne faut ni s’en remettre totalement au hasard, ni vouloir l’abolir pour se rencontrer

Charles Pépin

Retrouvez cet article sur Esprit-Libre notre webzine – (apml.ovh)

Charles Pépin 2019

Un article écrit par Fred l’Enfleuenceur

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Conseils de Jeu

Les colons de Kätane

Boite du jeux de base « Catan »

Autres noms : Les colons de Kätane, Catane, Catan

Auteur : Klaus Teuber

Illustrateur : Franz Vohwinkel

Nationalité : Allemand

Edition en France : Jeux Descartes

1er parution en France  : 1995

Genre : Stratégie

Durée : 75 minutes environ

Nombre de joueur : 3 à 4

Age recommandé : 10 ans et plus

Catan est une île sur laquelle des colons se livrent une course à l’implantation et l’extension de leur territoire. Cette île est composée de 5 types de terrains qui fournissent 5types de ressources différentes. Cela permet de construire des colonies, des routes, des villes et des cartes développement.

MontagneCarrièreChampPrairieForêt
RocheArgileBléLaineBois

Au début de chaque partie, la disposition des ressources et leur rendement est défini aléatoirement. Son rendement ? et oui ! Sur chaque case de Catan un chiffre entre 2 et 12 est placé aléatoirement lui aussi. Au début, de son tour le joueur lance deux dés, et tous les joueurs ayant des villes adjacentes aux ressources, qui ont pour numéro la somme des deux dés, récoltent leur ressource correspondante. La récolte de ressources est aléatoire mais le placement des colonies n’en reste pas moins stratégique. Ainsi la pénurie ou l’abondance varie fortement et le commerce autour de ces ressources est dynamique.

La valeur qui tombe le plus est le 7, mais ce numéro ne donne pas de ressources. Il envoie des voleurs piquer des ressources dans les colonies et bloquer la récolte de celle-ci.

Déroulement d’une partie de Catane :

Le tour de chaque joueur se déroule en trois phases :

ProductionCommerceConstruction
Lancement des dés, récolte des ressources ou déplacement du voleur
 
Le joueurs peuvent échanger des ressources avec les autres joueurs
 
Le joueur dépense ses ressources pour construire et gagner des point de victoire

Le premier joueur à atteindre 10 points de victoire, gagne la partie !

VilleColonieRoute la plus longueArmée la plus grandeCarte point de victoire
2 pts1 pt2 pts2 pts1 pt

Extensions :

  • · Marins
    • L’île de Catane devient un archipel
  • · Villes et chevaliers
    • Des barbares attaque l’île
  • · Barbares et marchands
    • Il faut rénover le château de Catane
  • · Pirates et découvreurs
    • Explorer les alentours de l’île

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« Covid –Sanitaire  » : Cap’tain dindon ?

Après 12 mois de privation de liberté de circuler, exceptée avec, parfois,  une auto-attestation ridicule, que faut-il retenir des nouvelles mesures gouvernementales Françaises ?

La violence !

              Ca va en faire hurler plus d’un, j’en suis conscient. Je n’avais jamais connu une telle violence morale. Cela se rapproche même d’une sorte de perversion mentale.

La violence d’une décision

Souvenons-nous. Nous sommes à la veille du premier tour des élections municipales de Mars 2020. Le premier ministre nous annonce froidement et dans un ton qui te fout les jetons, que « d’ici à minuit, j’ordonne la fermeture des café et des restaurants. » l’effroi ! Non pas parce qu’on ferme ces établissements, mais bien à cause de ce ton pervers consistant à nous dire que la situation était grave au point qu’il fallait immédiatement fermer ces établissements pour cause de covid-19, mais que nous pouvions tout de même aller voter. Résultat plus de 60 % d’abstention. La peur ! Je ne pardonnerai jamais ce choix absolutiste de ce gouvernement. La menace d’un virus très dangereux qui rode, mais pas dans les urnes. Nous sommes gouvernés par des gens qui ont la conviction qu’un peuple se dirige sur l’instant “T” .

Aucune projection ! Et surtout : absence du sens de l’Etat ! Ce gouvernement ne sait pas construire une logique d’état qui consisterait à prendre les devants d’une situation qui les dépasse.

Au fil de cette année de folie, l’illogisme s’est propagé tel un virus infernal. Nous sommes restés spectateurs, subissant tels des soumis les informations contradictoires et la folie séculaire d’une gouvernance dépassée, utilisant des armes médiatiques infantiles nous renvoyant au 19 ième siècle, époque où le peuple était confiné socialement dans une terrine à pâtée pour chat !

Tout le monde s’y est mis. Les médias-poubelles de plus en plus influents dans notre sphère communicative, ont mis le paquet. D’abord, mettre en lumière les journalistes lobotomisés-crétins, aux ordres avec une pincée d’éditorialistes nationalistes qui n’en demandaient pas autant pour intégrer définitivement la norme éditoriale.

Désormais, l’extrême droite est “co-gouvernante” au sein de l’information globale. C’est, selon moi, la pire des conséquences politiques de ce covid-19. La bête est définitivement revenue dans notre quotidien avec la complicité des patrons de médias et du gouvernement.

A un virus qu’on nous demande de combattre, on en infiltre un autre que l’on nous fait passer comme inoffensif. Après tout, ces médias infiltrés sont parties prenantes de notre société démocratique et libre et représentatives d’une partie des électeurs!

La raison, la vraie, c’est l’ambition politique d’une gouvernance française qui mise sur une cristallisation de la contestation par le biais de l’extrême droite. Un jeu dangereux.

Une peste remplace un covid. 2022 sera l’année de tous les dangers

Frédéric Quillet