

Mericide !
De la mer cartelée, du delà de l’eau qui décroche
Le merle moqueur, sur la route, s’est abonné
Tourbillon sans nuit contiguë sur l’asphalte
Mille éclats, ce ces étoiles, déversées en apnée
Un os créateur oublie le chemin de la pensée
Il emmène sa flatterie fraternelle et attelée dans le bois d’Isengard
Il faut d’abord dérouiller ce corps” ensquelétté” de brouillard
Pour donner à son rythme une mesure plus efficiente
Chrome d’illusion sur une substance adipeuse
La capsule du temps s’enferme dans une logique silencieuse
Vers quel spectre de masse courons-nous dans ce bas-delà ?
Rien ne souffle en illusion sur cette aromatique sentence
Joseph Bernard

Le temps de l’amour
Il est de ces jours où tu sombres dans l’ombre
Où l’obscurité te berce rendant agréable ton séjour dans les décombres
De tes pensées détruites et tes émotions jetés aux oubliettes par déception
Plus tu broies du noir et plus tes idées gagnent en nombre
Tellement que tu arrives à douter de l’existence de ton propre « Soleil »
Et cet absence de lumière tue à petit feu ton être originel
Dans un monde devenu forêt de ciment
Baisser la tête ne te laisse guère le choix entre les déchêts et la grisaille
Tes yeu orientent la vision de tes sentiments
Il est grand temps que ton cœur passe aux représailles
Nettoie ton intérieur, il est impératif de faire le ménage
Secoue ta matière grise elle tee remerciera pource remue méninge
Jette tes poubelles si tu veux que ta vie soit plus belle
Balaye ton intérieur avantmême de le faire devant ta porte
Aguerri ton coeur au lieu de l’endurcir
C’est entrainer un muscle à réaliser un effort sans trop souffrir
Irrigue ton âme de tonamour pour qu’y fleurissent des au doux parfum
Récoltes ce que tu sèmes afin de planter à nouveau dans un cycle réputé sans fin
Rien ne disparaît et tout se transforme
Tout existence n’est que lutte intérieur,
Puis de l’extérieur différentes formes